Lecture d'œuvres françaises

Bel-Ami
Synopsis:
« Bel-Ami » a été écrit par Maupassant en 1885, un auteur réaliste et naturaliste inspiré par son père spirituel Flaubert. C'est l'histoire de l'ascension sociale et économique de Georges Duroy grâce aux femmes qu'il séduit et utilise à ses fins. Elle se situe au XIX siècle, au début de la troisième République.
Opinion personnel:
Le texte reflète les conditions socio-politiques de l'époque. Ses idées surannées, surtout sur les femmes, ne m'ont pas plu, et m'ont empêché de prendre plaisir dans la lecture du livre.
Bien que fascinée par la langue et les aspects psychologiques, en particulier l'opinion de Maupassant sur la société et la mort, je n'ai pas apprécié le personnage de Duroy et le développement de l'histoire. L'intrigue elle-même était limitée et je pouvais facilement prévoir la suite. C'était une lecture très laborieuse mais qui, pour autant, m'a permis de refléchir sur le mouvement littéraire naturaliste et m'a appris beaucoup de choses sur la hiérarchie du pouvoir à Paris et la presse de cette époque.
Extrait favori:
Mon extrait préféré était le septième extrait, pages 135-136, qui abordait les réflexions du poète sur la mort avec Georges Duroy. J'ai trouvé fascinante l'idée que la mort suivait chaque moment de la vie du poète et qu'après un certain âge, il se voyait doucement mais irrémédiablement vieillir et faiblir. Je suis en désaccord avec Maupassant sur le fait que le but de la vie soit de mourir. Toutefois, cela m'a poussée à me poser des questions et à reconsidérer la manère dont je perçois la vie, le fait de vieillir et jusqu'à la mort.
Pire extrait:
Je n'ai pas du tout aimé l'extrait 4 à cause de sa représentation de Mme de Marelle et des pauvres. Bien que l'extrait démontre efficacement l'arrogance, l'arrivisme, et le nouveau pouvoir de Duroy, l'interprétation donnée par Maupassant m'a déplu. Le personnage féminin de cet extrait était apeuré, cherchant du réconfort dans le personnage masculin, ou prenait plaisir à se déguiser pour ressentir une réjouissance scélérate. Les ouvriers sont aussi décrits de manière péjorative comme des hommes ivres, bruyants et agressifs et Duroy parle d'eux avec mépris.

Tintin au Congo

Synopsis:
« Tintin au Congo »
écrit par Hergé en 1931, était un petit feuilleton dans le journal « Le
Petit 20ᵉ ». Les connotations racistes, colonialistes, conservatrices,
catholiques et nationalistes étaient surprenantes pour moi durant la première
lecture, mais logiques une fois remises dans son contexte historique.
L'objectif
de l'œuvre était de promouvoir le colonalisme et de justifier le travail et
l'importance des missionnaires dans leur action visant à éduquer, pacifier,
soigner, diriger, administrer ces régions, ainsi que de démontrer le décalage
technologique d'avec l'Europe.
Opinion personnel:
J'ai bien aimé lire le livre, cela faisait longtemps que je n'avais pas lu une bande dessinée de cette série, et le style simpliste, l'histoire comique, et la structure ordonnée m'ont gardé divertie durant la lecture. Même mon regard plus mature, qui m'a permis de relever plusieurs détails aujourd'hui inacceptables dans notre société, n'a pas nui au plaisir de cette lecture.
Extrait favori:
Mon extrait préféré était celui dans lequel Tintin chasse le lion car non seulement ai-je appréciée l'aspect comique (surtout Milou triomphant sur le lion) mais les subtilité des dessins était fascinant. Ce que j'ai aussi aimé, c'est la relation entre Tintin et Milou: leur complicité apporte une touche d'humour et d'humanité à l'histoire.
Ce que je n'ai pas aimer:
La seul chose que je n'ai pas aimé était à quelle point nos annotations était répétitif après le troisième extrait. On ne trouvait pas beaucoup de variété dans le message et le style. L'humour basé sur des stéréotypes raciste ne marche vraiment plus à l'époque et devient vite prévisible. Au lieu de faire avenver l'histoire ou d'enrichir les personnages, c'est un simple acte de propagande colonialiste.
Conclusion:
En conclusion, j'ai beaucoup aimée étudier cette œuvre. C'était intéressant
d'analyser des images plus que du texte et de voir comment Hergé décrivait le
Congo, un pays qu'il n'avait jamais vu, d'une manière a inciter les belges à
venir si installer durant l'époque coloniale. Les petits détails utilisé nous
informent beaucoup sur l'attitude colonialiste et paternaliste de l'époque. La
bande déssiné elle-même était aussi facile et amusante à lire et c'est
rapidement devenu mon court de français favori de la semaine.

Maison de Poupée

Synopsis:
"Une Maison de Poupée" est une pièce de théâtre écrite par Ibsen dans les années 1890. Ce drame en trois actes est une critique de la société paternalise de la Norvège. C'est l'histoire d'une jeune femme nommée Nora qui a emprunté de l'argent pour sauver la vie de son mari, Helmer. Durant cette scène d'exposition, Ibsen présente les traits de caractère principaux des personnages quand Nora revient des courses de Noël et se trouve face à face avec Helmer. Ibsen utilise le théâtre comme une représentation des relations de pouvoir et pour présenter les tensions du passé et de l'avenir. Il démontre le combat entre la société conservatrice et novatrice, à travers une Nora qui veut se libérer du conservatisme norvégien et souhaite être l'égale de l'homme
Opinion personnel:
L'objectif de cette ouvre est de démontrer la situation des femmes qui sont dépendantes de leur mari et ne sont que des poupées. J'aime bien cette ouvre car elle représente une facette de l'histoire Norvégienne très intéressante, et en tan que femme, j'apprécie le féminisme de cette pièce. Je trouve qu'étudié la littérature française à travers une pièce de théâtre me vient plus facilement et je prends plus de plaisir à trouver le message de l'auteur à travers les actions et les paroles des personnages.
Extrait favori:
Mon extrait préféré était le grand renversement de tendance à la fin du livre. Nora dénonce l'attitude d'Helmer, son hypocrisie, et ses valeurs immorale qui reflète la
société Norvégienne. Elle souligne son propre sacrifice et courage mais aussi
l'illusion brisée dans laquelle elle vivait et décide de partir. Je trouve cet extrait responsabilisant pour la cause des femmes de cette époque et du présent.
Pire extrait:
Je n'ai pas du tout aimé l'extrait 1, car il montrait une femme complètement sous le pourvoir de son mari et qui acceptait complètement son infantilisation et son rôle d'inferieur. Bien que cette réprésentation d'Ibsen sois utile pour démontrer les fautes de la société Norvégienne de l'époque, le personnage ne m'a pas plu et m'a fait rapidement perdre interêt dans le livre.

Les Femmes de l'Ombre
Synopsis:

Le drame français "Les Femmes de L'ombre" par Jean-Paul Salomé de 2008, célèbre le rôle des femmes dans la résistance durant la deuxième Guerre Mondiale. Il raconte l'histoire de cinq femmes envoyées en France pour exfiltrer un agent et tuer le Colonel Heinrich. Ce film explore les thèmes de la femme, la séduction, le secret, le courage, le sacrifice, le rapport de force, le désespoir, la mort, l'amitié, le receuil, et la solitude.
Opinion personnel:
J'ai bien aimée ce film qui représente fidèlement la difficulté de réaliser de telles missions, le rôle caché des femmes dans la résistance et les relations interpersonnelles entre les personnages. L'étude elle-même m'a beaucoup appris sur le travail nécéssaire pour faire un film et l'importance de petit détails comme l'angle de la caméra, le positionement d'object, ou l'usage du symbolisme.
Extrait favori:
Mon extrait favori était la mort D'Heinrich parce que Jean-Paul Salomé a réuni tous les thèmes en une fin tragique mais puissante. C'était la dissolution de l'équipe par la mort et la réussite de la mission qui n'était ni célébrée ni joyeuse. Cela représentait à merveille le rôle des femmes restant dans l'ombre alors que Louise reculait dans le brouillard, mais aussi sa vengeance douce-amère alors qu'elle s'assurait qu'Heinrich savait qui l'avait tué.
Pire extrait:
Je n'ai pas beacoup aimée la mort de Suzie à l'Hôtel. J'ai trouvée le fait qu'elle ne pouvait pas achever Heinrich insatisfaisant et la révélation qu'il l'avait simplement tuée et qu'il ne s'agissait pas d'un double suicide était décevante.

Les Fausses Confidences
Synopsis:

La pièce de théâtre française "Les Fausses Confidence" par Pierre Marivaux, écrit en 1737 raconte l'histoire d'un dénommé Dorante qui est follement amoureux d'une femme riche et veuve nommé Araminte et qui grâce au stratagème de son fidèle ancien serviteur Dubois, surmonte l'obstacle qu'est leurs différentes classe sociale et situation financière
Opinion personnelle:
J'ai n'ai pas beaucoup aimée ce texte car il y avait peu d'intrigue et ce n'était pas un humour qui m'amusait particulièrement. De plus, un amour né de mensonge et de manipulation est pour moi pas réelle se rend pour moi la fin de la pièce de théâtre insatisfaisante. Cependant, l'analyse des personnages comme Dubois en classe était tout de même intéressante car il tenait toutes les ficelles de personnage qui socialement avait plus de pourvoir que lui à l'époque. J'ai apprécié ce renversement de situation aussi dans la dynamique de pouvoir entre Araminte et Dorante.
Extrait favori:
Mon extrait favori était la scène 15 dans l'Acte 2. J'ai beaucoup apprécié le double jeu entre Dorante et Araminte dans lequel Araminte pense en savoir plus que lui et cherche a obtenir des aveux amoureux mais cela fait en faite partie du plan de Dorante et Dubois. Tous les sous-entendus et le fait qu'Araminte avoue ses propres sentiments par inadvertance.
Pire extrait:
Mon pire extrait était la scène 1 dans l'Acte 3. Cet extrait qui représente la supériorité de Dubois et la stratégie de manipulation, bien qu'intéressante parle d'Araminte comme un trophée à avoir. Dorante, indécis à cause de l'amour qu'il tient est contre carré par la froideur de Dubois. Il manipule tout le monde et leur sentiment sans remords et ne considère même pas les doutes de Dorante sur la véracité d'un amour basé sur le mensonge. Le triangle amoureux encourager par Dubois est une trope littéraire que je n'aime pas.

Je sais Pourquoi Chante l'Oiseau en Cage.

Synopsis:
L'autobiographie "Je sais pouquoi chante l'oiseau en cage" de Maya Angelou, est une oeuvre écrite en anglais qui raconte son enfance et son adolescence marquées par le racisme, la discriminations et les traumatisme. L'histoire suit Maya et son frère Bailey, enjoyés check leur grand-mère dans l'Arkensas, les subséquentes injustices raciales du point de vue enfant et adulte de Maya, et l'effet d'une agression sexuelle.
Opinion personnel:
Ce livre est un témoignage puissant et boulversant. L'écriture est poétique et incisive, rendant ses expériences personnelles universelles. Elle exprime les sentiments d'une fille noir vivant dans une société raciste et sexiste. J'ai particulièrement été touché par la force avec laquelle elle transforme la douleur en résillience. Ce récit n'est pas une histoire facile, mais il est porteur d'éspoir.
Extrait favori:
Mon extrait favori était celui où Maya imagine sa grand-mère Momma, comme une figure supernaturelle affrontant le dentiste raciste. Dans son imagination, Momma prend le pouvoir, parle avec autorité et force le dentiste à la respecter. Ce moment m'a beaucoup plu parce qu'il montre un enfant transformant une situation frustrante en une scène de justice. C'est un passage très gratifiant après tout le racisme du reste du livre et met en avant la vision de Maya Angelou enfant. Cette scène montre que Maya a pris conscience du pouvoir de Momma malgré sa couleur de peau. De plus elle est touchante car enfin Maya enfant se sent protéger, Momma devient un être magique comme dans un compte de fées, une héroïne qui a tenu tête à un homme blanc et la écraser.
Pire extrait:
Le passage le plus difficile à lire était sans aucun doute celui où Maya est agressée sexuellement par Mr. Freeman. La violence de l'acte lui-même et les conséquences psychologiques résonne particulièrement fort car c'est un danger qui existe et est très présent dans la vie de fille de nos jours. Voir son silence et sa culpabilité me font réaliser les sentiments partager par plusieurs victime et m'attriste. Jamais une fille devrait se resentir coupable après avoir souffert d'une telle manière. Je me révolte
